top of page

Galerie Harmattan
40, rue Saint Jean 74120 Megève FRANCE
Tel. +33 (0)6 67 01 93 81


Après un choix difficile pour sélectionner les animaux qui figureront dans le nouveau catalogue de Lise Vurpillot, celui-ci est enfin parti à l’imprimerie.

En avant-première, son texte d’introduction, et aussi les oeuvres disponibles en ce moment à la galerie :

« Il m’est difficile de parler de moi et de ma peinture… Les galeries avec lesquelles je travaille et les articles que des journalistes m’ont consacrés, savent mettre des mots sur ce qu’ils voient. Pour ma part, je ressens ma peinture, j’aime profondément les couleurs et la gaieté que le monde autour de moi m’inspire. Une seule remarque illustre mon propos : je n’utilise jamais de noir.

Commençons par mon parcours : diplômée de l’école Emile Cohl, je suis aujourd’hui illustratrice pour la littérature jeunesse ; je réalise des décors pour la compagnie de théâtre Sarbacane et participe en ce moment à l’un de leurs spectacles (« C’était très bien » http://www.sarbacane-theatre.com/#!concert-illustr/c8ba ) et bien sûr, je suis peintre animalière. Concernant ma peinture, j’emprunte les mots d’Elodie Bouffay, pour «Le Journal de Megève», qui décrivent avec bienveillance mon travail. «Son oeuvre est à la frontière du fauvisme et de l’expressionnisme,(…) elle est vive, dynamique, lumineuse… Elle utilise les teintes avec audace et maîtrise. En excellente coloriste, elle juxtapose des rouges vifs et des verts tendres, mêle entre eux des bleus, des oranges, des jaunes… sans pour autant rendre ses oeuvres violentes ou agressives, bien au contraire. Dans ses peintures flamboyantes, les couleurs s’assemblent et s’équilibrent pour illuminer les regards des animaux qui, exprimant tantôt la force, tantôt la douceur, sont étonnamment expressifs et vivants, à l’image de l’artiste (…) Sa peinture, qui connaît un beau succès auprès du public, orne les murs de plusieurs galeries en France et en Belgique depuis maintenant trois ans.»




Dernière mise à jour : 26 déc. 2018


Les premières neiges sont tombées, vite effacées par les rayons revanchards du soleil. Pourtant il reste de cet épisode une avancée indéniable dans l’hiver : l’air pinçant et le givre au matin, un ciel bleu translucide, un soleil froid et les buées persistantes qui s’échappent de nos bouches sur le chemin du travail.

L’hiver arrive, et c’est bien !

Cette période de l’année est aussi le moment des préparatifs, des choix. Et loin de nous voir déprimer sous le plaid face aux conneries de la tv, c’est une période très active et très agréable où il fait bon envisager l’avenir ! Dans le village certains magasins font des travaux ou changent d’enseigne. Ce qui laisse libre cours à toutes les spéculations. Les velléités sont dévoilées depuis longtemps et nous n’attendons plus que les annonces officielles des espoirs qui se seront concrétisés. Ogier, Ladurée, mais aussi Nano qui revient dans le centre du village semble-t-il…

J’ai hâte ! hâte de voir et de gouter !


Et pour ne pas être en reste moi aussi je prépare l’hiver : de nouvelles œuvres pour les artistes qui font le succès de la galerie : les boules en verre de YaNn Perrier, « ces merveilleuses » sont en préparation ; Brigitte Teman avec de nouveaux bronzes et un catalogue sous presse ; encore (mais pour combien de temps ?) quelques sculptures du fameux et regretté Livio Benedetti ; un nouveau sculpteur et un nouveau sujet pour la galerie : Daniel Favre, des représentations humaines en bronze, tout en force tout en puissance. De la belle, très belle sculpture ! et bien d’autres, les raku de Brigitte Lombard et ceux d’Annie Cotterot …

Coté peintures les derniers fauves expressionnistes de Lise Vurpillot en gaité et en luminosité ! Eric Equoy et ses paysage du Haut Doubs ; Meña découverte cet été qui présentera ses manades et ses courses de chevaux ; Pascale Eyraud et ses scènes ensoleillées de jeux d’enfant ; et bien sûr Daniel Castan, qui multiplie les articles dans la presse spécialisée, accrochera ses perspectives dynamiques de New York !

L’hiver arrive, et j’ai hâte !




Les premiers centimètres de neige sont tombés, bien peu pour envisager de sortir les skis… mais avec eux les températures ont chuté et chacun s’emmitoufle pour faire face à l’hiver qui arrive. Le ciel est bas, les cols remontés. Les vitrines sont quasi toutes décorées ou tout au moins le seront dans les prochains jours… dont la mienne !

L’hiver arrive et avec lui le tumulte des saisonniers, les inaugurations, les illuminations…

on s’active on se précipite ! je reçois cette semaine les dernières œuvres qu’il me manque : celles de Daniel Castan, de YaNn Perrier, d’Annie Cotterot et de Livio… encore quelques fauves de Lise Vurpillot et de nouvelles sculptures de Daniel Favre, et je serai prêt !

Parmi les pièces que j’ai reçues tout récemment il y a un quadriptique de Meña représentant un taureau. Son titre : le Sublime. Car effectivement il l’est, sublime ! 1m60 de haut sur de 2m de long. Une très belle pièce, très réussie ! « elle a de la gueule » comme on dit ! Et son prix des plus raisonnables saura finir de séduire la clientèle.



Il y a aussi Brigitte la girafe, une peinture de Lise Vurpillot de 1m par 1m représentant la tête du jouet pour enfants que nous avons tous mâchouillé dans notre petite enfance. Un clin d’œil tant à son univers de l’illustration jeunesse, qu’à la savane qu’elle affectionne. Là encore Lise fait preuve d’un grand savoir-faire de coloriste pour nous offrir un mariage en douceur de violets, de verts et d’oranges.



Une remarque tout de même : pour quelle raison « Brigitte » ne s’est pas intitullée « Sophie »… répondre à cette question vous donnera l’expliquation des titres que Lise donne à ses peintures. Pour vous donner un indice, les autres titres sont Rod, Hugh, Satie…


Parmi les œuvres de Livio que je vais recevoir, le « Toro 14 » aussi appelé le « Toro rond » de taille moyenne, une œuvre qui rejoindra le magnifique Toro Rosso ainsi que l’allègre Toro Amoureux.





Les chiens et chevaux de Tristan Haenzel dont un extraordinaire Danois arlequin sur fond rouge. Une toile de 1m20 sur 1m, toute en contraste noir et blanc sur fond rouge ! beau, très beau…




Et bien sûr, une merveilleuse découverte : Daniel Favre ! ses bronzes superbes, forts sans concession ! Un travail que j’aime profondément qui rencontrera un grand succès, c’est ma prédiction ! car pour rencontrer le succès il faut un artiste doué et des prix justes. Le bronze est souvent cher car le travail de fonderie a un coût certain… et les artistes peu connus qui les réalisent ont besoin de financer assez vite leurs œuvres pour continuer à sculpter. Ici, en plus d’être superbes, les pièces de Daniel Favre sont tout à fait abordables. Il y a un décalage entre la maturité, la qualité exceptionnelle des sculptures (fondues chez Barthélémy) et leur coût qui n’est pas soumis aux nécessités/prétentions des jeunes sculptures. Ainsi elles sont à mon sens sous-cotées. Mais le marché n’aimant pas cela, il est certain que leur prix va monter très vite. Un excellent travail à des prix exceptionnellement abordables.

Pour peu que l’on aime, il faut se laisser tenter !

demie lune Daniel favre

L’hiver arrive, et j’ai hâte !



bottom of page