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Galerie Harmattan
40, rue Saint Jean 74120 Megève FRANCE
Tel. +33 (0)6 67 01 93 81


Certains ont pu reconnaître dans les dernières toiles de Daniel Castan la ville de San Francisco. Et effectivement l’hiver de Daniel Castan s’est passé plus à l’ouest qu’à l’accoutumée, laissant quelques peu New York et ses avenues pour les rues en pente de Frisco.

Le travail toujours aussi dynamique, et en matière dépeint toute l‘énergie, la force de ces paysages urbains. Les nouveaux formats plus allongés encore (120×40 cm) accentuent la verticalité des villes tandis que de profondes trouées de ciel, toute en transparence mettent en valeur les perspectives dans l’œuvre.




Dernière mise à jour : 26 déc. 2018


Les premières neiges sont tombées, vite effacées par les rayons revanchards du soleil. Pourtant il reste de cet épisode une avancée indéniable dans l’hiver : l’air pinçant et le givre au matin, un ciel bleu translucide, un soleil froid et les buées persistantes qui s’échappent de nos bouches sur le chemin du travail.

L’hiver arrive, et c’est bien !

Cette période de l’année est aussi le moment des préparatifs, des choix. Et loin de nous voir déprimer sous le plaid face aux conneries de la tv, c’est une période très active et très agréable où il fait bon envisager l’avenir ! Dans le village certains magasins font des travaux ou changent d’enseigne. Ce qui laisse libre cours à toutes les spéculations. Les velléités sont dévoilées depuis longtemps et nous n’attendons plus que les annonces officielles des espoirs qui se seront concrétisés. Ogier, Ladurée, mais aussi Nano qui revient dans le centre du village semble-t-il…

J’ai hâte ! hâte de voir et de gouter !


Et pour ne pas être en reste moi aussi je prépare l’hiver : de nouvelles œuvres pour les artistes qui font le succès de la galerie : les boules en verre de YaNn Perrier, « ces merveilleuses » sont en préparation ; Brigitte Teman avec de nouveaux bronzes et un catalogue sous presse ; encore (mais pour combien de temps ?) quelques sculptures du fameux et regretté Livio Benedetti ; un nouveau sculpteur et un nouveau sujet pour la galerie : Daniel Favre, des représentations humaines en bronze, tout en force tout en puissance. De la belle, très belle sculpture ! et bien d’autres, les raku de Brigitte Lombard et ceux d’Annie Cotterot …

Coté peintures les derniers fauves expressionnistes de Lise Vurpillot en gaité et en luminosité ! Eric Equoy et ses paysage du Haut Doubs ; Meña découverte cet été qui présentera ses manades et ses courses de chevaux ; Pascale Eyraud et ses scènes ensoleillées de jeux d’enfant ; et bien sûr Daniel Castan, qui multiplie les articles dans la presse spécialisée, accrochera ses perspectives dynamiques de New York !

L’hiver arrive, et j’ai hâte !




Les premiers centimètres de neige sont tombés, bien peu pour envisager de sortir les skis… mais avec eux les températures ont chuté et chacun s’emmitoufle pour faire face à l’hiver qui arrive. Le ciel est bas, les cols remontés. Les vitrines sont quasi toutes décorées ou tout au moins le seront dans les prochains jours… dont la mienne !

L’hiver arrive et avec lui le tumulte des saisonniers, les inaugurations, les illuminations…

on s’active on se précipite ! je reçois cette semaine les dernières œuvres qu’il me manque : celles de Daniel Castan, de YaNn Perrier, d’Annie Cotterot et de Livio… encore quelques fauves de Lise Vurpillot et de nouvelles sculptures de Daniel Favre, et je serai prêt !

Parmi les pièces que j’ai reçues tout récemment il y a un quadriptique de Meña représentant un taureau. Son titre : le Sublime. Car effectivement il l’est, sublime ! 1m60 de haut sur de 2m de long. Une très belle pièce, très réussie ! « elle a de la gueule » comme on dit ! Et son prix des plus raisonnables saura finir de séduire la clientèle.



Il y a aussi Brigitte la girafe, une peinture de Lise Vurpillot de 1m par 1m représentant la tête du jouet pour enfants que nous avons tous mâchouillé dans notre petite enfance. Un clin d’œil tant à son univers de l’illustration jeunesse, qu’à la savane qu’elle affectionne. Là encore Lise fait preuve d’un grand savoir-faire de coloriste pour nous offrir un mariage en douceur de violets, de verts et d’oranges.



Une remarque tout de même : pour quelle raison « Brigitte » ne s’est pas intitullée « Sophie »… répondre à cette question vous donnera l’expliquation des titres que Lise donne à ses peintures. Pour vous donner un indice, les autres titres sont Rod, Hugh, Satie…


Parmi les œuvres de Livio que je vais recevoir, le « Toro 14 » aussi appelé le « Toro rond » de taille moyenne, une œuvre qui rejoindra le magnifique Toro Rosso ainsi que l’allègre Toro Amoureux.





Les chiens et chevaux de Tristan Haenzel dont un extraordinaire Danois arlequin sur fond rouge. Une toile de 1m20 sur 1m, toute en contraste noir et blanc sur fond rouge ! beau, très beau…




Et bien sûr, une merveilleuse découverte : Daniel Favre ! ses bronzes superbes, forts sans concession ! Un travail que j’aime profondément qui rencontrera un grand succès, c’est ma prédiction ! car pour rencontrer le succès il faut un artiste doué et des prix justes. Le bronze est souvent cher car le travail de fonderie a un coût certain… et les artistes peu connus qui les réalisent ont besoin de financer assez vite leurs œuvres pour continuer à sculpter. Ici, en plus d’être superbes, les pièces de Daniel Favre sont tout à fait abordables. Il y a un décalage entre la maturité, la qualité exceptionnelle des sculptures (fondues chez Barthélémy) et leur coût qui n’est pas soumis aux nécessités/prétentions des jeunes sculptures. Ainsi elles sont à mon sens sous-cotées. Mais le marché n’aimant pas cela, il est certain que leur prix va monter très vite. Un excellent travail à des prix exceptionnellement abordables.

Pour peu que l’on aime, il faut se laisser tenter !

demie lune Daniel favre

L’hiver arrive, et j’ai hâte !



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